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Environ 75 % des femmes se demandent comment soulager leur douleurs liées au cycle féminin. En effet, les menstrues peuvent provoquer certains désagréments voir de violentes douleurs. Leur réflexe, dans la plupart du temps, pour palier a ses douleurs, est de prendre du paracétamol ou un anti inflammatoire. Mais, ils comportent de nombreux effets secondaires et peuvent s’avérer dangereux pour la santé.

Maux de ventre, douleurs dans les seins… Que se passe-t-il dans votre corps pendant les règles ? 
Et quelle est l’origine de ces symptômes désagréables ?

Les règles s’accompagnent souvent de symptômes gênants. Leur origine ? L’influence des hormones sur le corps aux différentes étapes du cycle menstruel. Coup de blues, ballonnements, crampes… Ces symptômes, qu’ils soient physiques ou psychologiques, sont liés à ce qu’on appelle le « syndrome prémenstruel » (SPM).

Votre culotte est souvent trempée et dégage une odeur assez prononcée de poisson, allant même jusqu’à traverser vos vêtements? Vous souffrez sans doute de pertes vaginales, qui sont assez courantes.

Environ 50 % des femmes sont concernées par une laxité vaginale. Avec le temps, certaines femmes peuvent alors ressentir un relâchement de leur vagin. Affectant leur vie sexuelle mais aussi elle-même, elles ont alors besoins d’un traitement adapté pour retrouver une vie normale et leur bien-être psychologique.

La laxité vaginale peut avoir plusieurs causes :

  • Le vieillissement : avec une diminution de la production de collagène par la peau, le vagin fini par perde de sa fermeté et se relâcher. Tout comme la peau du visage, l’orifice vaginal fini par se relâcher.
  • Après un accouchement: lorsqu’une femme accouche de manière naturelle, l’orifice vaginal subit un étirement excessif pouvant, à terme, endommager les fibres de collagène au niveau du vagin. Ainsi, après un accouchement, il n’est pas rare de constater une laxité vaginale.
  • Lors de la ménopause: une variation hormonale importante peut conduire à une laxité vaginale. En effet, avec la baisse significative d’œstrogènes dans le corps lors de la ménopause, les tissus vaginaux finissent par perdre en élasticité et en fermeté.